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A propos d'Obligement
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David Brunet
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Test de Thunder Burner
(Article écrit par TSR et extrait de Joystick - décembre 1991)
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A pied ou en vol, un seul mot d'ordre pour cette machine toute droite sortie des laboratoires Loriciel : massacre !
Les Transformers ne sont pas morts ! Vive le machine power ! Vous voilà aux commandes d'un gigantesque
robot d'acier suréquipé de tous les côtés, ayant la particularité de se métamorphoser de temps à autre
en un vaisseau supersonique. Spécialement créé pour anéantir une présence ennemie toujours aussi détestable.
C'est d'ailleurs l'unique moyen encore à ce jour pour détecter l'ennemi, c'est qu'il est invariablement
détestable, et c'est scientifiquement prouvé !
Quoi qu'il en soit, il vous faut venir à bout des douze missions qui vous seront confiées.
La dernière étape, après avoir descendu en flammes des dizaines d'objets volants peu identifiables
arrivant de tous les côtés, sera la forteresse ennemie. Vous n'arriverez là que si, bien entendu,
vous avez assez de carburant. Ce précieux carburant se collectera sur votre route sur des aires
facilement repérables au-dessus desquelles il faudra passer.
Mais ce n'est pas de carburant dont vous aurez besoin pour vaincre les douze chefs de fin de niveaux.
Il faudra jouer de ruses et de vitesse pour les faire exploser en mille et un boulons. Vous pouvez
toujours essayer de corrompre l'ordinateur, mais c'est beaucoup moins efficace.
Mine de rien, la vie de héros intergalactique n'est pas toujours évidente. Si jamais vos études vous
destinent à pareille carrière, méfiez-vous.
L'idée de se transformer en fonction de son énergie disponible est bien vue. Plus que de tirer à ne plus
savoir où donner de la tête, il faut surtout mettre la main sur des sources d'énergie. Abattre l'ennemi
apparaît plus comme accessoire qu'autre chose.
Les effets sonores, aussi bien la musique que les bruitages, sont bons, voire très bons sur la page de présentation.
L'animation assez pesante rend bien compte de la lourdeur de la machine qui, pas à pas, pesamment, s'avance au
travers des lignes ennemies variées en décors et en adversaires.
Mais c'est à peu près tout ce qu'il y a de bien dans Thunder Burner au niveau de la réalisation.
En somme, ses graphismes sont peu attrayants, ses contrôles sont bien pauvres. Mais le plus grave
c'est qu'il ne présente pas une originalité transcendante et cela n'incite guère le joueur à y rejouer.
Nom : Thunder Burner.
Éditeur : Loriciel.
Genre : jeu de tir.
Date : 1992.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
NOTE : 3/10.
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