Suivez-nous sur X

|
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z,
ALL
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
A propos d'Obligement
|
|
David Brunet
|
|
|
|
Test d'OpenURL 3.0
(Article écrit par Jean-Philippe Pinon et extrait d'ANews - décembre 1999)
|
|
Lorsque l'on utilise plusieurs programmes pour les courriers électroniques, les messages Usenet, ou pour naviguer
sur Intemet, on est parfois confronté à des problèmes de compatibilité.
Comment envoyer à mon navigateur X l'URL qui se trouve dans mon gestionnaire de courrier A ?
Et comment récupérer avec mon navigateur Y, l'URL qui se trouve dans mon client de nouvelles Usenet
B ? Et le tout en évitant d'utiliser le copier/coller ?
Eh bien, il faut souvent avoir recours à plusieurs scripts ARexx (quand ils existent) pour chaque logiciel, ce qui est peu pratique
et pas toujours fiable ou compatible. C'est là qu'intervient OpenURL. Il s'agit d'une bibliothèque et d'un programme de
préférences qui vont permettre la standardisation de l'ouverture d'URL et d'adresse électronique pour tout type
d'applications. Dès que vous cliquez sur une URL, soit votre navigateur est ouvert et il charge la page, soit il n'est
pas lancé et openurl.library s'en charge.
De même pour les adresses électroniques : en cliquant dessus, votre gestionnaire de courrier préféré apparaîtra. Il
incombe maintenant aux développeurs de se servir de cet outil, car il n'est pas encore utilisé par beaucoup de
produits. On peut aussi déplorer l'absence de documentation concernant les diverses options ; la configuration
aurait été plus facilitée.
Nom : OpenURL 3.0.
Développeur : Troels Walsted Hansen.
Genre : gestion des URL dans AmigaOS.
Date : 1999.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 1 Mo de mémoire, AmigaOS 3.0, MUI.
Licence : gratuiciel.
Téléchargement : Aminet.
NOTE : 7/10.
Les points forts :
- Pratique pour les applications Internet.
- Incite à la standardisation.
Les points faibles :
- Peu de programmes l'utilisent.
- Pas de documentation.
|
|