Suivez-nous sur X

|
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z,
ALL
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
0,
A,
B,
C,
D,
E,
F,
G,
H,
I,
J,
K,
L,
M,
N,
O,
P,
Q,
R,
S,
T,
U,
V,
W,
X,
Y,
Z
|
|
A propos d'Obligement
|
|
David Brunet
|
|
|
|
Test d'E.S.S. (European Space Simulator)
(Article écrit par Stéphane Lavoisard et extrait de Génération 4 - janvier 1990)
|
|
L'espace a toujours été un terrain de prédilection pour les jeux vidéo. Mais avec E.S.S. de Tomahawk,
le réalisme n'a jamais été aussi grand.
Présentation
Vous êtes à la tête de l'I.C.S (International Space Corporation) et votre but est, dans un premier temps,
de mettre des satellites sur orbite, de construire une station orbitale, et ensuite de pallier les
éventuelles défections du parc installé, tout en engrangeant un maximum d'argent. Pour chaque mission
réussie et pour chaque bon atterrissage, vous touchez une certaine somme. Une fois en place, les satellites
vous rapportent une rente mensuelle. Vous pouvez également récupérer de l'argent en autorisant certaines
expériences à l'intérieur de la station. A vous de l'obtenir le plus vite possible.
Après avoir choisi le type de satellite, suivant son poids, et il faut bien le dire, des considérations
financières, vous vous retrouvez aux commandes de la navette, et devez manoeuvrer de façon à atteindre
l'orbite recherchée (entre 200 et 500 km pour la station spatiale, entre 600 et 800 km pour les satellites
d'observation, et 36 000 km, orbite géostationnaire, pour les satellites de communication).
Vous pouvez aussi embarquer différents modules servant à l'élaboration de la station orbitale.
Durant la période sur laquelle se déroule le jeu (de janvier 2010 à décembre 2013), vous pourrez accomplir
de nombreuses missions, et souvent elles seront d'un ordre technique. En effet, dès qu'un satellite tombe
en panne, vous cessez d'être payé, et il vous faut donc aller le réparer au plus vite. A vous d'embarquer
les personnes qualifiées qui pourront sortir dans l'espace (à l'aide d'un scaphandre) et trouver la panne !
Si vous vous trompez, il ne pourra être remis à neuf, et vous serez dans l'obligation de le détruire,
récoltant au passage une forte amende. Comme vous pouvez le constater, il vous faudra apporter le plus
grand soin à chacune de vos actions.
L'avis de Stéphane Lavoisard
Une bonne simulation faite per des français, voilà une chose assez rare pour qu'elle se fête.
E.S.S. est la première bonne simulation de navette spatiale disponible sur machines 16 bits. En plus,
il y a une partie gestion puisque vous êtes à la tête de l'entreprise mettant les satellites en orbites,
ce qui ajoute à l'intérêt déjà Important du jeu.
Bref, sans atteindre des sommets au niveau de la réalisation, E.S.S. est un produit soigné, bénéficiant
de recherches poussées au niveau du réalisme, et intéressant par ses options nombreuses. Une bonne
surprise de Tomahawk !
L'avis de Frank Ladoire
De prime abord, on pourrait croire qu'E.S.S est un logiciel de simulation de navette spatiale,
mais en fait, c'est plus que cela, puisque le programme inclut bon nombre de problèmes économiques.
C'est d'ailleurs ce dernier aspect qui tient une place prédominante dans le jeu. Mais n'ayez crainte,
l'action n'en est pas pour autant niveau de la réalisation, c'est très satisfaisant avec une bonne
utilisation des graphismes en 3D formes pleines et un bon environnement sonore. En bref, un
jeu de qualité !
Nom : E.S.S. (European Space Simulator).
Développeur : Inférence.
Éditeurs : Tomahawk, System 4.
Genre : simulation spatiale/jeu de gestion.
Date : 1989.
Configuration minimale : Amiga OCS, 68000, 512 ko de mémoire.
Licence : commercial.
Prix : 300 FF.
NOTE : 7/10.
Les points forts :
- Original.
- Mélange de simulation/gestion/action.
- Assez complet.
Les points faibles :
- Réalisation modeste.
- Pas super passionnant/amusant.
- Domaine sonore un peu vide.
|
|