Obligement - L'Amiga au maximum

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Le courrier des lecteurs d'Amiga News - juillet 1997
(Rubrique exploitée par Alain Bourgery et extraite d'Amiga News - juillet/août 1997)


Le mois dernier, Ed a violemment tronçonné le courrier que je lui avais transmis pour "manque de place suite aux événements londoniens". Voici ceux que vous auriez dû lire, et un courrier long, mais que je n'ai pas pu m'empêcher de passer car son avis rejoint le mien. A lui l'honneur du...

Premier courrier

Madame ou (et ?) Monsieur Aniouz,

Comme je vois que tout le monde donne son avis sur le passé, le présent et l'avenir de l'Amiga, je ne vois pas pourquoi je ne donnerais pas le mien, même si tout le monde s'en fout, car comme disait je ne sais plus qui "ce n'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule". Or, j'ai des trucs à dire... Donc, pour situer le mec derrière le clavier, je suis possesseur d'un Amiga 500 depuis août 1987, d'un Amiga 2000 depuis février 1992 et d'un PC depuis novembre 1996 (oui, je sais, le dernier ordinateur de la maison fait un peu tache dans le décor...). Donc, sur ces dix ans passés avec l'Amiga, j'ai assez peu de mauvais souvenirs :
  • La facture du 500 : 7900 FF TTC...
  • Le premier virus (bien inoffensif, mais surprenant en 1988).
  • L'Amiga 500 qui tombe en panne un mois avant la fin de la garantie (ouf) mais qui tourne comme une horloge depuis (donc depuis environ neuf ans).
  • Le premier disque dur SCSI qui met en avant un défaut du contrôleur A590 et qui vérole mon rapport de stage de fin d'études (heureusement MAD était là avec leur qualité de service et leur respect du client).
  • L'octet défaillant sur ma GVP Combo 340 (re-merci MAD).
  • Le plantage lamentable de Commodore, dont il faut quand même saluer une qualité : la nullité de leur service commerciale a permis d'établir un étalon pour le zéro absolu. :-)
  • Les discussions stériles sur AFS dans la liste de diffusion ; en gros, AFS n'a jamais fonctionné aussi bien (en termes de stabilité) que le bon vieux FFS chez moi je l'ai acheté, mais je l'ai laissé tomber quand FLD a commencé à mettre des gadgets, à mon goût inutile dans un système de fichiers, au lieu de le déboguer...
  • Le plantage d'Escom.
  • Le plantage de l'alimentation de mon vénéré 2000 (merci Serele).
  • Les perspectives VIScorpiennes nébuleuses de rachat.
Ben voilà, j'ai fait le tour : en dix ans, c'est peu ! Du bon côté, il y a :
  • Le multitâche qui me fascinait au début (10 horloges analogiques avec la trotteuse en temps réel Sur un 68000 à 7 MHz, quand on vient de l'Apple II, ça envoie).
  • La simplicité et la cohésion de l'interface utilisateur.
  • L'exploitation de la puissance (toute relative suivant les normes PC actuelles) du processeur (un malheureux 68030).
  • La quantité de logiciels du domaine public (sur PC, j'ai été horrifié de constater qu'un bidule aussi inutile qu'un accessoire de calcul de la distance parcourue par la souris était un partagiciel).
  • La bonne tenue dans le temps des logiciels commerciaux (on n'a pas forcément besoin de la toute dernière ultime version (sauf CyberGraphX 3 qui est en bêta-nid-à-bogues :-)).
  • La qualité des logiciels (tant commerciaux que domaine public).
  • L'adéquation des divers produits disponibles aux besoins des utilisateurs et l'absence de course à la puissance (Word, par exemple, me parait totalement disproportionné par rapport à l'utilisation qui en est faite (même les secrétaires, dont c'est pourtant l'outil de tous les jours disent qu'elles n'ont besoin que d'un dixième de ce que sait faire Word, donc l'utilisateur moyen...)) ; de même, un logiciel graphique doit proposer un "défaire" limité uniquement par la mémoire : citez-moi sur PC ceux qui font cela (et depuis quelle version ils le font !).
  • La compétence, la gentillesse et le dévouement de MAD envers ses clients.
  • Les concepts du système d'exploitation.
  • Les périphériques logiques.
  • Les datatypes.
  • Assignations multiples.
  • Notification.
  • L'ordonnanceur "temps réel" (voir les systèmes embarqués) mais cependant personnalisable (Executive).
Donc, Si je résume, je dispose d'une machine à la technologie "dépassée" qui fait tout ce que je veux :
  • 3D (Imagine 4, la version 5 me parait une grosse arnaque par rapport à celle sur PC).
  • Traitement d'images (Image Studio et tout pleins d'outils DP).
  • Dessin avec XiPaint 4.0.
  • Traitement de texte (TeX et Emacs).
  • Musique avec Bars&Pipes (merci Microsoft) et MidiPlay.
  • Programmation C, C++ (SAS/C et gcc), Ada (un peu vieux le gnat 2.06 maintenant :-)).
  • Ouaibe (pour être chébran ;-)) avec IBrowse 1.1 : pas mal si on se contente de 256 couleurs et qu'on sait qu'au bout d'un moment le bouton "back" ne fonctionne plus (mais, ils préviennent, alors faute avouée est à moitié pardonnée. :-)
  • Linux, mais la CyberVision64/3D n'est pas gérée par X11 (ou alors, j'ai raté un épisode).
D'accord, elle est lente, cette machine, mais mise à part la 3D que je peux faire calculer au PC, c'est suffisant et même au pire, je peux toujours investir dans une carte 68060, et la vavavoum... Par contre, elle est fonctionnelle et efficace, contrairement au "superbe" PC qui ne donne une impression de puissance qu'une fois sous Linux ! Puisque j'en suis au PC, voici les deux raisons qui m'ont poussé, moi fanatique de l'Amiga, à acheter une de ces "choses" :
  • Y'a des jeux sublimes (Screamer 2, Grand Prix 2, Heroes of Might and Magic 2, Daggerfall, Quake pour ne citer que ceux que j'ai achetés).
  • Y'a Linux (mais je l'ai aussi sur l'Amiga).
Au niveau des défauts du PC, je citerai MS-DOS, Windows et tout ce qu'ils induisent comme erreurs ou hérésies tant au niveau ergonomie, que contrôle de la machine... Pour avoir utilisé Windaube 95 et Windaube NT lors de mes divers contrats (c'est bien pour ça, les SSII), je dois dire que ce qui m'a le plus choqué, c'est la notion de Plug and Play (certains disent Plug and Pray) à la Microsoft et le fouillis innommable que sont ces deux "OS"... Je m'explique. Si on installe un produit sur Windows (95 ou NT), un superbe "installer" (beaucoup plus bô que celui de Commodore, mais que vient faire la bôté là-dedans...) met tous les fichiers là où il veut les mettre et pas ailleurs ! Ce qui, sur Windows NT, donne des angoisses métaphysiques à l'administrateur système puisque si, comme ce fut mon cas, il verrouille le répertoire contenant les fichiers système (comme il est de bon ton de le faire sur un système d'exploitation multi-utilisateurs), certains produits (ceux de Microsoft, par exemple) refusent de s'installer prétextant une impossibilité d'écrire là où ils le désirent...

Ce genre de pratique est choquant, puisqu'un produit applicatif peut fort bien écraser des fichiers système avec des versions plus anciennes desdits fichiers (ce qu'il fait, bien sûr)... Le travail de l'administrateur consiste, alors, à retrouver ses petits (ou après une réinstallation complète du système à faire une copie de sauvegarde d'abord) ou alors à fermer les yeux, laisser tout ouvert et se consacrer à l'administration des machines Unix, qui sont mieux élevées... Ceci signifie aussi qu'un utilisateur ne peut pas forcément installer un produit pour son propre compte sans avoir les accès en écriture aux répertoires du système... Il est aussi impossible de modifier l'installation puisque "l'installeur" est un exécutable, pas un script en pseudo-lisp comme sur Amiga et il est souvent impossible d'essayer un produit sans l'installer, puisque, parfois, la distribution ne comporte qu'un fichier (OK, c'est pratique), mais il sert à la fois d'archive et d'installeur.

Autre point rigolo, la désinstallation... On se dit, voilà qui est plus fort que l'Amiga ! Certes, mais tempérez vos ardeurs, les gars (vous permettez que je vous appelle "les gars" ? Non ?... Bon, tant pis), ça marche quand ça veut : j'ai ainsi obtenu des messages du genre "j'ai peut-être pas tout enlevé, faudra finir à la main". Ça jette un froid... Bon, une fois le premier dépit passé, on se dit que c'est mieux que s'il avait tout laissé en plan : faut voir... En effet, il va falloir aller nettoyer la base de registres à la mimine avec beaucoup d'imagination pour trouver un critère de recherche pertinent (voir PaintShop Pro dont l'éditeur est JASC : ça fait un paquet de mots "intéressants" à chercher ("paint", "shop", "pro", "jasc", voire "jpeg", "gif" et autres formats d'images qui avaient été associés à ce très médiocre manipulateur d'images)) ou beaucoup de patience pour parcourir toute la base de registres à la recherche des miettes perdues par la désinstallation. Quant à enlever les DLL et autres fichiers annexes devenus inutiles, il y a des logiciels vendus en plus qui savent le faire : merci Microsoft... En gros, soit le système est capable de savoir réellement tout ce qu'il faut enlever, soit il s'abstient de proposer une option de désinstallation. Il est aussi aberrant qu'un système comportant une simili-base de données accepte que l'on efface un des éléments de cette base sans mettre ladite base au courant. Si vous effacez à la main un produit avec "l'explorateur", la base de registres sera fausse puisque pointant vers des données désormais inexistantes.

Pour avoir pratiqué professionnellement ces deux "OS", je dois dire qu'AmigaOS. qui n'est pas industriel (merci Commodore, pour n'avoir jamais su vendre l'Amiga), est beaucoup plus rigoureux (les bibliothèques (DLL pour le PC) sont dans Libs: ou une assignation multiple (par exemple sur mon 2000, les bibliothèques fournies par Commodore ou Amiga Technologies sont dans Sys:Libs, mais celles issues d'applications touchant au système ou non, sont dans Sys:Libs/Added), les périphériques logiques dans Devs:, etc.) et pas en vrac. Certes, il manque à AmigaOS un ensemble de propriétés qui en feraient un OS "moderne", en particulier la protection mémoire au niveau du système comme les Unix ou Windows NT, mais globalement, il serait capable de rivaliser sans aucun problème avec les "OS" de Microsoft.

Et naturellement, on arrive au problème de la bibliothèque de logiciels ! Sur ce point, je rejoins Christopher Potter dans votre numéro de mai 1997 : Java peut sauver la pluralité des systèmes d'exploitation en supprimant le discours des chefs d'entreprises et des décideurs de tout poil dans le genre : "On s'en fout que Linux ou AmigaOS soit plus convivial ou plus performant en tant que système d'exploitation, les produits sont sur Windows". Désormais, une entreprise pourrait se permettre de choisir le système d'exploitation en fonction de ses besoins (parc de machines déjà disponibles, contraintes vis-à-vis d'un client qui dispose du même système, ou autre) et pas en fonction des applications qui fonctionnent dessus. Si les fabricants de logiciels se mettent à écrire des logiciels en byte-code Java (quel que soit le langage source utilisé), n'importe quel système d'exploitation disposant d'un compilateur Java JIT sera capable de les faire fonctionner : fin de l'hégémonie de Microsoft (amen !). Pour les fanants de logiciels, c'est la fin des portages (qui ne se passent jamais aussi bien qu'on le voudrait) : la disponibilité sur une plate-forme est le problème du constructeur de la plate-forme et du créateur du système d'exploitation (même Microsoft, qui devra peut-être faire peau neuve à ses "OS"), ce qui ouvre toute grandes les portes à un résurrection de l'Amiga (n'est-ce pas. Monsieur Gateway 2000 ?).

De même, il suffit de jeter un coup d'oeil objectif à UAE sur Linux (ou autre Unix, j'suis pas sectaire), DOS, Windaube ou Mac, pour voir qu'émuler un 680x0 dans un environnement à prion hostile (Intel x86, PowerPC, Sparc, HP-PA, Alpha ou autre) est parfaitement réaliste sans se poser des contraintes à la Microsoft avec DOS et Windaube. Donc, je pense que le futur de l'Amiga est dans l'ouverture sur Java, que ce soit avec un système comme pOS ou celui de Phase 5 n'est pas le problème, il faut juste qu'il ait le même esprit que celui de l'Amiga actuel simple et efficace (pourquoi pas AROS une fois arrivé à maturité...). La compatibilité doit être traitée comme un sujet annexe (voir UAE), mais pas comme une contrainte.

Si le matériel de la machine qui gère ce système d'exploitation est un "vulgaire" PC tant pis, on fera avec. si c'est une architecture à la A\Box ou comme les clones Mac, tant mieux, on retrouverait ainsi l'esprit de l'Amiga de 1985, un bon OS sur un bon matériel. On va peut-être, enfin, pouvoir revenir à une inventivité du matériel (limitée par les possibilités d'échange de cartes d'extension, mais là aussi, il y a peut-être un "Java" à faire) après toutes ces années de dictature intellienne (surtout qu'Intel a l'air de vouloir se radicaliser avec leur nouveau système de microprocesseur sur carte fille propriétaire et le marché du PC pourrait fort bien continuer sans eux, comme IBM l'a vécu à la grande période du PS/2 et du MCA). Si ce concept multiplates-formes à base de code Java ne prend pas (ou si un fabricant essaye de se l'approprier au lieu de le laisser à tout le monde), je ne vois pas ce qui pourra sauver les autres fabricants de systèmes d'exploitation du rouleau compresseur Microsoft, et pas seulement l'Amiga... L'avenir de l'informatique (personnelle et professionnelle) est-il "Intel Inside" et "Designed for Windows 95" ? J'espère que non.

PS : Juste histoire d'être casse-pieds, page 30 du numéro de mai, sur la photo représentant l'Amiga 1000, les légendes des lecteurs de disquette sont inversées : le A1010 est un 3"1/2 (j'en ai un sous les yeux) et donc le A1020 devait être un 5"1/4. (Bruce Lepper : c'était une numérisation de la publicité originale de Commodore pour l'A1000 ! Comme quoi...).

PPS : Réponse à la lettre (numéro de mai 1997) du Monsieur qui trouve le PC sous Windows 95 génial (une lobotomie accidentelle peut-être :-)), nostalgique de l'Amiga (lâcheur, va !), GhostScript affiche le PDF ; ce n'est peut-être pas le plus petit logiciel, mais, il est gratos (voir la licence pour une distribution avec un produit commercial). Merci de votre patience, Alain Valleton.

Hello

Une nouvelle ère Amiga ? Du moins Phoenix DP le dit-il sur sa publicité postale reçue ce matin (16/4) : "Le 31 mars 1997, Gateway 2000 a racheté Amiga Technologies qui devient Amiga International" [...]. L'Amiga dans tout cela ? Il rentre dans le secteur délaissé par Gateway 2000 depuis quelque temps, le jeune public, en se consacrant au marché de l'informatique confortable... pour adultes (voir les dernières pub), [...] pour un public jeune qui aime les jeux, qui fait du traitement de texte par obligation, qui souhaite naviguer sur le Net occasionnellement, et surtout pour des jeunes aux poches pas très remplies... Amiga 1200, CD32 + SX32 Pro + modem ? En attendant de voir ce qu'a réellement dans la tête la marque aux vaches normandes, amigaïste, montre-lui ton choix fait ! Numéro vert : 08.00.90.64.86, 3615 Gateway2000, www.fr.gw2k.com. Pour les Parisiens, rendez-vous ou envoyez une lettre d'amour à Gateway 2000, 152 boulevard Haussman, 75008 Paris. Salutations, Philippe Bellon (04 Banon).

Comme enfer

Chers amis,

J'étais équipé d'un Amiga 1200 avec une Blizzard 1220 + copro + 4 Mo. Le tout fonctionnait parfaitement mais restait un peu limité. J'ai donc acheté, chez Turtle Bay Direct, une Blizzard 1240 + 8 Mo + carte SCSI, un boîtier tour, et dans la volée, un lecteur de disquette haute densité et un scanner Epson. [...] J'ai installé le pilote de clavier Atéo, cela fonctionnait toujours. J'installe le pilote de la carte SCSI (pas de logiciel) pour la Blizzard 1240, puis je teste mes logiciels : Deluxe Paint IV AGA est enfin devenu utilisable en HAM8 et haute résolution, et travailler avec Caligari est devenu agréable. Mais surprise, Wordworth plante quand je mets la correction orthographique, puis quand je veux imprimer. Je m'aperçois ensuite que Décollage, les jeux, les DP en général plantent. Curieusement, Deluxe Paint, Personal Paint, Caligari, Photogenics, TurboCalc, KindWords, PageSetter III, Blitz Basic, TypeSmith, Panorama, semblent fonctionner correctement. Le pire suit : ayant remis la Blizzard 1220, je constate les mêmes problèmes ! [...] Déconnecter la carte ou la mémoire Fast de façon logicielle ne change rien au problème. [...] Je remercie d'avance qui pourra m'aider. Jean-Patrick Leroy (29 Landrévarzec).

Alain Bourgery : Vous ne voulez pas reformater votre disque dur, je vous comprends, il faut essayer d'une façon plus douce. Premièrement, enlever la Blizzard (quelle qu'elle soit) et tester si les logiciels présents sur le disque dur fonctionnent (dans l'affirmative, c'est une incompatibilité avec la carte, mais cela semble peu probable ; dans la négative, penser à un virus et essayer de réinstaller). Ensuite, tester avec la carte présente en démarrant sur le Workbench en disquettes (éventuellement en mettant le(s) disque(s) dur(s) absent(s) lors du menu early-startup) et le(s) logiciel(s) à problème en disquette(s) (pour ceux qui ne nécessitent pas un emploi exclusif depuis le disque dur). Pour ne pas formater le disque mais tester quand même en sa présence, il y a la solution de mettre tous les tiroirs et fichiers de la racine dans un répertoire provisoire... Mais vous vous retrouverez sous Shell au démarrage.

Print

[...] Existe-t-il des pilotes pour utiliser une imprimante Canon BJ200 sous ShapeShifter ? Si oui, lesquels, et où peut-on les trouver ? D'avance, merci beaucoup et longue vie à l'Amiga & Co ! Nicolas Depret.

Alain Bourgery : Canon distribue toujours (maintenant sur son serveur FTP) des pilotes spécifiques pour ses imprimantes sur Amiga, PC et Mac, visitez leur site...

Nannarienàfoutre

Cher ANews,

Après lecture d'un comparatif de modems dans votre mag, j'ai arrêté mon choix sur l'Olitec Self Memory 33 600. Je tiens à dire que c'est un très bon produit qui sait tout faire. Quand en plus on l'accouple avec une machine qui elle aussi sait tout faire, voire davantage, on peut utiliser celui-ci à fond. Je m'explique : il sait faire répondeur ordinateur éteint ; au grand malheur Olitec n'a pas pensé que nous, amigaïstes, existions encore ! Alors là, moi je dis nannarienàfoutre. Vous connaissez ShapeShifter, servez-vous-en. Un petit coup de pouce car j'ai galéré pas mal sur le problème : pour faire fonctionner le répondeur, enregistrer un message, mettre le modem en mode autonome... il faut utiliser le new8n1.device : par contre, pour ce qui est du Minitel, le serial.device est de rigueur. Mais ceci n'est pas encore parfait, alors si vous avez mieux à me proposer... Cédric Doux (ceddx@worldnet.fr).

Liaisons dangereuses

Cher ANews,

J'ai toujours été intéressé par la communication entre deux Amiga ou entre deux machines (Amiga et PC). Pour échanger des données entre deux Amiga, je me sers du très célèbre ParNet (transfert à environ 300 ko/s). Ah, un p'tit bonjour en passant à François Gastaldo du BUGSS de Bordeaux qui a connecté un PC (sous NT 4.0) et un Amiga via un réseau Ethernet (ce serait pas mal comme sujet d'article, non ?)... Personnellement, pour la communication entre Amiga et PC, j'ai recours à TwinExpress et à ses commandes ARexx dédiées via Directory Opus (le pied de faire un dir de C: dans une fenêtre Opus ou de se servir du lecteur de CD du PC quand on n'en a pas sur Amiga !). Un seul problème : l'échange entre 3 et 5 ko/s à 115 200 bauds...).

Sur PC, il existe LapLink qui gère les échanges de données via le port parallèle. Existe-t-il sur Amiga un programme permettant de gérer les échanges de données entre Amiga et PC sur ce port (il y a Link-It sur Amiga, mais je crois que le câble de communication par le port parallèle est spécifique a Link-It) ? Amigalement. PS : existe-t-il un simulateur de Dahu sur Amiga ? Éric Coustard (37 Tours).

Alain Bourgery : Le simulateur de Dahu est facile à faire, il suffit de réutiliser les anciens programmes prévus pour TI57 et autres Amstrad... Pour la liaison parallèle, comme j'ai moi-même testé Link-It, je peux confirmer que le câble utilisé par Link-It ne respecte pas la norme utilisée entre autres par LapLink (je dis entre autres car MS-DOS et Windows 95 utilisent la même norme de câblage pour leurs câbles parallèles, ce qui permet de créer un réseau relativement rapide pour un coût très faible entre PC distants de moins de 2 m). L'importateur français de Link It, Serele, doit toujours m'envoyer un câble correct dès que possible... De même, vous pouvez utiliser deux contrôleurs SCSI pour communiquer entre machines étrangères (il faut un peu jongler pour configurer, mais ça marche). Enfin, pour ce qui est du sujet d'article, je me permets de vous faire remarquer qu'un article assez proche a déjà été publié.


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